Un mot sur Stewart Brand

Web
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Un monde sans Internet?

Ces dernières semaines j’ai été amené à créer un mini site en m’inspirant de la préface du livre incontournable de Fred Turner: Aux sources de l’utopie numérique – De la contre-culture à la cyberculture, Stewart Brand, un homme d’influence. Entre les histoires de hippies et de LSD, et les grands cerveaux de Sillicon Valley, on voit se dessiner la longue (pré-)histoire de notre cher Internet. Si cette utopie existe telle qu’on la connaît aujourd’hui c’est surtout grâce au travail d’un certain Stewart Brand.

Stewart Brand, ce n’est pas un programmeur.

Une petite pèche sur Wikipédia révèle qu’il est né le 14 décembre 1938, qu’il est diplômé de Stanford en biologie et qu’il est marié à une femme d’origine amérindienne. C’est aussi un hippie. Le mélange est bon pour créer le personnage central d’une transformation de la contre-culture hippie en culture numérique.

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No hippie – no Internet

Un bon organisateur.

Son séjour en tant que parachutiste dans l’armée américaine lui permettra d’affiner son sens de l’organisation. Ce lui sera utile parce qu’il réussira à mettre en place le Whole Earth Catalog et le réseau correspondant, Whole Earth ‘Lectronic Link (WELL). Ensuite viendra le Global Business Network qui explore stratégies commerciales au profit d’entreprises. Stewart Brand s’était donc établi comme le lien entre les mondes déconnectés des hippies et des entreprises.

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L’homme à tout faire

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Oui, Wired c’est lui

Que serait devenue la culture Internet si ces mondes ne se sont pas coalisés ?

Internet est maintenant mon lieu de travail. Je l’aime bien, malgré ses petits défauts. Tout ça parce que Stewart Brand vivait avec cet esprit :

Stay Hungry, Stay Foolish.

(RIP Steve Jobs)._

Bonus:

Acheter le livre

Dominque Cardon a écrit la préface

Réseau The WELL (oui, il existe toujours)

Images du Burning Man Festival

NoPhone tue iPhone

Design, Design produit, Web
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100% plastique

closup

La riposte aux smartphones

C’est fini.

Marre de briser l’écran iPhone ?

Marre de le repêcher des toilettes, conscient qu’il ne fonctionnera plus jamais ?

Marre de ne pas trouver quelqu’un avec un bon chargeur ?

Marre des blagues sur la rigidité de ton précieux iPhone 6 Plus ?

NoPhone vient remédier ça !

NoPhone est à l’épreuve des destructeurs d’écran – il n’a pas d‘écran.

NoPhone est complètement étanche – il n’a pas de circuits électroniques.

NoPhone n’a pas de batterie.

Pas besoin de système d’exploitation. Pas besoin de mises à jour – vous êtes toujours à jour.

Fini la dominance iPhone.

Je refuse d’exclure la possibilité de voir un jour le NoPhone détrôner le mythique iPhone. Au prix de 12 euros l’unité, je ne pense même plus à l’iPhone.

Ce n’est pas un vrai téléphone. – Katie A

Ne l’écoutez pas cette folle. Le NoPhone a juste constamment des problèmes de réseau.

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Le NoPhone cible un certain constructeur californien

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No screen – no problem

Le NoPhone a une longueur d’avance trop importante sur ses concurrents. Malgré cela, pour des raisons inconnus, le Kickstarter n’a pas réussi à collecter les fonds nécessaires pour sa production en série – déception.

Je ne comprends pas.

NoPhone2

La fonction selfie ne vous a pas convaincue ?._

Google Fait Textile

Graphic design, Web
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Ça y est – ils font du découpage

Non mais, sérieusement. Qui n’a toujours pas entendu parler de Google Material Design (à lire en accent Anglo-Saxon, bien évidemment) ?

Bref, Google a décidé de nous montrer sa charte graphique pour tout ce qui est Android et Chrome OS.

Bla bla bla formes naturelles bla bla bla expérience tactile bla bla bla c’est intuitif. L’impression de déjà-vu me…

Oh j’arrète.

Material design, franchement, c’est du lourd –

fin, du léger.

layering

Less is more

L’économie des moyens – ça me plaît.

Le papier et l’encre animés – ça me plait.

Uniformité sur toute écran – ça me plait.

Google, 2 Cool 4 School

Du point de vue étudiant, c’est cool d’avoir accès à toutes les ressources que Google met à disposition. D’ailleurs, on peut trouver Roboto et d’autres goodies, içi.

Thanks Google._

(J’attends toujours la première collection textile signée Google.)

En<div>es

Web

Ah, les joies de html.

Non merci Adobe, je n’ai pas besoin de Flash.
Oui Microsoft, t’as bien entendu, je ne veux pas télécharger Silverlight.

Eh oui, les sites codés  en html peuvent se passer de tels programmes.  Le langage html permet d’intégrer directement animations, vidéos, musique et widgets Facebook et Twitter. Pratique.

Il faut se lancer.

Mouais, à première vue ça parait compliqué – surtout si on n’a jamais fait du codage de sa vie. Mais croyez moi, c’est une question d’habitude. (Ouais ouais, c’est ce qu’ils disent tous!)

Regardez, en un jour de cours on a pu faire notre premier site web. Il était moche, certes,  mais c’est quand même un site mis en page, avec textes, images et liens. C’est la base!

Ils sont drôles les <div>.

Surtout pour les jeux de mots pourris. Par contre c’est drôlement pratique de faire des paquets <div> que l’on peut ensuite déplacer avec tous leurs éléments pour une mise en page efficace.

Un jour on créera un site digne des endives. _